Sounan'Sha
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Lancaster Knight

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Message  Lancaster Knight Mar 29 Déc - 19:47

Nom : Knight

Prénom : Lancaster Edouard

Age : 21 ans

Matières étudiées : Histoire des civilisations, littérature, musique bien sûr, et pour garder la forme escrime, danse et équitation. Et bien qu'il n'y excelle en rien, juste pour son propre plaisir personnel, Lancaster a également choisit de suivre les enseignements de physique-chimie et de science de la Terre.


Description physique : Sa chevelure abondante, qu'il coupe court et coiffe de manière un peu dépassée mais n'en attire pas moins les regards et l'envie, se plie volontiers aux caresses qu'il apprécie particulièrement, étant d'un naturel câlin malgré son puissant magnétisme qui ne le laisse pas aisément supposer. Au-dessous brille son regard qui cille très peu et dévore les pages à une vitesse impressionnante ; expressifs et étincelants d'intelligence, ce sont des yeux qui capturent les regards d'autrui tout comme ils captent le moindre détail, de manière presque implacable. Il a un sens aigu de l'observation et de l'humour, qui anime son visage presque au point de l'illuminer au gré de ses réflexions, mais même son besoin d'affection ne l'accable pas sous une trop grande sensibilité ; conscient des autres, il réalise parfaitement, avec un bon sens confinant parfois à la résignation, que leur admiration n'est pas chose qu'il puisse commander et donc pas non plus exiger. Il n'use donc pas de sa beauté pour charmer, et ses tenues vestimentaires s'en ressentent ; bien que d'excellente coupe et souvent de grand prix, elles restent sobres et parfois même sombres, manquant tristement de fantaisie ou de séduction, n'étant le corps parfaitement proportionné, pâle mais agréablement ciselé, qui s'y laisse deviner au gré de ses mouvements.

Description Psychologique : En amour, qu'il n'a connu que brièvement et sans vraiment réaliser ce qui lui arrivait, il est d'un enthousiasme contrastant de manière amusante avec la simplicité qui caractérise ses rapports avec son compagnon. C'est un garçon calme et assidu, agréable élève capable de mobiliser son grand talent pour toutes sortes d'exercices, il peut être exalté par un rien si cela fait vibrer son cœur ou au contraire se trouver abattu lorsque ce qu'il considère comme essentiel lui est retiré. Il peut placer un courage et une volonté communicatives dans des entreprises insignifiantes, et ainsi les sublimer, en véritable artiste dans le moindre de ses actes, même sans avoir un instrument dans les mains ; c'est un excellent interprète qui n'a pas l'habitude des fausses notes et un échec inattendu peut le déstabiliser fortement. Il vise une carrière en solo et dotée d'un certain brillant, que lui permet sans difficultés sa fortune personnelle, mais vise pour l'heure à préserver la nouvelle forme d'harmonie qu'il vient de découvrir, comme si la musique de son cœur battant à l'unisson d'un autre était pour l'heure la plus parfaite qu'il se sente désireux de maîtriser. Ne considérant pas les autres comme acquis, il n'oublie jamais de faire les efforts nécessaires pour mériter leur coeur. Il a confiance en lui mais cela ne corrige en aucun cas sa tendance à se rallier à l'avis des autres en fonction de leur personnalité, et du prix affectif qu'il lui accorde.

Histoire :
Phoenix Knight était un rentier canadien d'une trentaine d'années, en voyage à Paris ; Tatiana Corel De Hachaz, une jeune fille de la haute société française, mélange de sangs illustres mais désargentés, et d'autres moins chargés d'ors anciens et davantage d'argent. Ils se voient présentés presque par hasard, se recroisent, se plaisent, entament une liaison qui prend rapidement des accents romantiques. La naissance de leur premier enfant, Lancaster, précède de peu leur mariage à Paris et leur brève installation dans la villa sur la côte que possède la famille Corel, faisant du petit garçon leur unique héritier. Peu après, la famille regagne Vancouver, où les anciens du clan Knight veulent rencontrer le petit dernier nouvellement arrivé. Désormais, malgré des voyages fréquents dans divers endroits du monde, leur demeure sera la grande demeure blanche de Vancouver, et cependant la nostalgie du petit Caster comme on l'appelle ira toujours à la France.

Il a toujours adoré la musique, même s'il a éprouvé une certaine facilité dans toutes les études que le hasard a placées sur son chemin tant qu'il a suivi un cursus général. On a bientôt décrété qu'il détenait l'oreille absolue ; il ne s'en soucie guère, trouvant normal de réunir sur sa jeune tête les regards appréciateurs d'une famille assemblée, alors qu'il interprète sur l'un de ses nombreux instruments de prédilection un morceau difficile de Chopin ou de Debussy. Il n'en tire d'ailleurs aucun orgueil : sa force est d'ignorer les embûches les plus évidentes d'une vie si solitaire, et sa faiblesse, d'y prendre des habitudes de calme souriant plus adaptées à la haute société qu'à un établissement scolaire classique. Il reste dans son coin, ne sait guère imposer son avis ou simplement le fait d'en avoir un, laisse les autres évoluer autour de lui comme un flot sombre qui ne peut l'ébranler. Ses yeux s'attachent à une chevelure blonde, puis se reportent sur ses partitions bien-aimées. Caster est un enfant sage ; il n'a aucune peur de l'avenir, et fait preuve d'un esprit libre de la plupart des soucis du commun des mortels, ce même esprit qui fuse à tire-d'aile au fil des sons qui s'envolent de ses instruments, et les enchante. Rien ne parvient à l'obséder, il ne cède à aucun plaisir que lui offre sa douce existence de manière trop déraisonnable, et c'est très vite un jeune garçon d'un sérieux exemplaire, apprécié dans les cercles auxquels ses parents le convient à participer. Mais il manque quelque chose... il serait bien en peine de dire quoi.

Un jour, alors qu'il compose une improvisation au piano pour accompagner la pluie battante qui l'enferme au salon, ses doigts reprennent d'instinct le rythme et la forme d'un poème qu'il a lu récemment, et qu'il garde un moment sur le bout de la langue, tandis que sous ses mains le morceau se construit peu à peu, animé d'une vie propre qui éclate finalement comme un printemps de notes fleuries. Il finit par mettre le doigt dessus : naturellement, il s'agit de ce petit texte inscrit à la hâte, à peine raturé et travaillé, dans un coin de carnet... Pas par lui. C'est un carnet qu'il a trouvé en fin d'année scolaire et n'a jamais été en mesure de restituer à quiconque. Les poèmes y sont nombreux et alternent avec les lettres mystérieuses, peut-être jamais envoyées. La personnalité singulière qui émane de ces pages le fascine, sans qu'il se fasse un drame de ne pouvoir sans doute jamais mettre un nom sur ces ombres errantes dont il aime tant le profil... Ses lèvres retrouvent et forment les mots exacts ; il commence à chanter sur l'air qu'il vient de découvrir. Il lui semble renouer contact avec une partie de lui-même perdue depuis longtemps, et même par instants toucher du doigt cette chose inconnue qui manque encore dans sa vie pourtant si idéale. Tous les poèmes du recueil font l'objet d'une mise en musique presque compulsive, et Caster ressent un manque étrange lorsqu'il les a tous traités. Il n'éprouve pas le besoin d'écrire ses propres textes pour continuer cet exercice. C'est cette écriture à la fois nerveuse, précipitée comme par une dictée trop vive, et à la fois joliment dessinée, qui fixe l'attention de son esprit. Il imagine toutes sortes de mains pouvant être responsables de ces lignes si originales...

En cherchant des poèmes sur internet pour voir s'il peut retrouver dans certains courants une sensibilité semblable, il tombe sur un site amateur qui propose des poèmes de jeunes gens de son âge. En français, cela va sans dire, en grand amoureux de celle qu'il ne nomme pas autrement que ''la langue de Voltaire''. Il parcourt d'abord les lignes concernant cette culture classique qui l'attache tant à ses racines d'Europe. Puis il s'intéresse à la partie jeu du forum, qui lui permet d'exercer ses connaissances dans ce langage quasi précieux. Il y excelle et a un succès fou.

Et un jour, on sonne à sa porte. Et cette chevelure blonde qui avait alors accroché son regard se trouve devant ses yeux. Et il reconnaît un ancien camarade de cours dans ce jeune homme venu l’interrompre. Et il retrouve l’auteur de ces textes qui le fascinent tant… Ils deviennent amis, très rapidement. Ils peuvent passer des heures à discuter, de tout et de rien, mais surtout de musique…
Et un jour, tout bascule, et tout ce qui suit n’est qu’instants de bonheur, de sensualité, un partage sans limite. Et Carl est rentré chez lui, sur un dernier baiser. Et Caster a attendu la fois suivante avec impatience, attendant de pouvoir parler avec lui, de pouvoir entendre ces mots que son corps lui avait fait entrevoir…

Mais quand Carl est revenu, quelques jours plus tard, ce n’était que pour repartir. Pour le laisser ainsi. Pour une histoire folle… Et Caster n’a pas pu le convaincre. Il a douté, oui, de la véracité de tout cela, son esprit pragmatique se posant mille questions. Mais c’est son côté romantique qui a finit par prendre le dessus, et c’est cela qui lui a permit de continuer. De retrouver sa trace, grâce au nom de son père. De convaincre ses parents de le laisser continuer ses études au Japon. Et enfin, de s’inscrire à l’école où il avait trouvé refuge. Et où lui même retrouva son amour. Malgré le doute, malgré les peurs qu'il a pu ressentir en passant la porte derrière laquelle Carlsen organisé une séance de photos, ils se sont retrouvés. Oui, ils s'appartiennent désormais.

L'incendie n'a su les séparer, et c'est indemn qu'ils s'en sont sortis. Ils sont restés au Japon, Carlsen refusant de renoncer à ses projets. Pourtant, Caster, déployant tout son talent, a su l'en distraire un temps. Il l'a aidé à renforcer son japonais, même si son ami n'est pour cela pas des plus doué et garde ce charmant accent quand il s'exprime. Il lui a fait visiter le Japon, qu'il connaissait déjà partiellement pour sa part. Ils ont même parlé mariage, plusieurs fois, mais c'était alors plus un jeu que de véritables promesses. On ne sait jamais ce qui peut arriver... Il a su le faire patienter jusqu'à l'ouverture de l'école Sounan'Sha. Et aujourd'hui, voilà qu'ils s'apprêtent à en franchir le portail, main dans la main. Il sait qu'il ne pourra pas toujours le protéger. Mais il est prêt à le suivre jusqu'au bout, et quel que soit la fin.


Nationalité : Franco-canadienne

Autres : stylophobe. La plume, ou rien. On peut dire que la découverte du clavier électronique a sauvé son niveau littéraire, en même temps que sa part de modernité.
En parlant de clavier, il maîtrise aussi bien le piano que la harpe, le violon, le violoncelle et la flûte traversière. Il a suivit pendant quinze ans des cours de chant lyrique et compte bien continuer au sein des cours de musique.
Il parle aussi de nombreuses langues, mortes ou vivantes, tel l’anglais, bien évidemment, l'allemand, le français, le russe, le japonais, l'italien mais aussi le latin, le grec et l’ancien français.
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Message  Lawrence MacKlarin Jeu 31 Déc - 0:44

Bienvenu

Tu peux dès à présent te rendre au discours du directeur dans le topic approprié (hall), tu pourra ensuite commencer le rp dès que cela sera fini
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