Aizawa Thomas

Nom : Aizawa

Prénom : Thomas

Age : 20 ans

Orientation sexuelle : homosexuelle

Description physique:

Thomas est de taille moyenne. Ni trop grand ni trop petit. Une taille passe partout en somme. Il est plutôt fin, sa pratique des arts martiaux lui permettant de rester en forme.
Ses traits sont fins, et malgré le temps qu'il passe dehors, sa peau est plutôt claire, contrastant avec l'améthyste profond de ses yeux. Ses cheveux, noirs avec des reflets auburn. Il n'a pas une coupe bien définie, l'esthétique ne l'intéressant que très peu. Du coup, ça contribue à lui donner un air un peu sauvage.
Côté vestimentaire, il est très simple, préférant les habits un peu amples lui permettant d'être à l'aise dans ses mouvements. Le plus souvent on le verra avec une chemises deux ou trois tailles au dessus de la sienne, un pantalon de toile fluide qui flotte autour de ses jambes quand il marche, et pour finir le tout une paire d'espadrilles. Quand il ne se promène pas en geta ou en tongs.
Il ne porte pas de bijoux, ni de tatouages, ne supportant pas les objets perçants (et surtout les aiguilles en tout genre.)

Description psychologique :

Il a toujours le sourire aux lèvres, discutant avec tout le monde sans à priori. Il va naturellement vers les gens, leur proposant son aide sans hésiter s'ils en ont besoin. C'est un bon vivant, même si l'alcool a sur lui des effets dévastateurs. Mais s'il aime bien être avec les gens, il lui arrive de préférer rester seul, à réfléchir : c'est son côté un peu rêveur. Appréciant la nature, il aime passer du temps dehors, n'acceptant de se trouver entre quatre murs que pour dormir ou s'entraîner. Ou alors quand il pleut.
Il est assez étourdi, oubliant facilement certaines choses. Mais il conserve tout de même le plus important en mémoire. Il est très attaché à sa grand-mère, qu'il considère comme étant sa seule famille.
Il ne s'engage pas facilement, mais cela est lié à son père et à un événement particulier (voir l'histoire).

Histoire :

Thomas est né de l'union éphémère de la jeune héritière d'une grande fortune française et du fils d'un important gang de Yakuza. Inutile de préciser que d'un côté comme de l'autre il n'était pas désiré par les familles. Mais comme nous sommes dans la réalité, et pas dans une de ces histoires avec des happy ends à la fin, ses parents n'ont pas quitté leurs famille pour se reconstruire une nouvelle vie avec leur fils. Roméo et Juliette n'est et ne sera jamais qu'une fiction.
Il fut élevé et grandi dans une des propriétés de la famille, en pleine campagne française, par des domestiques, des nourrices, des précepteurs, mais jamais par sa mère. On ne voulait pas de lui, alors on le faisait disparaître de la plus simple façon qui soit : en l'oubliant. Il grandi donc seul, sans avoir d'amis de son âge avec qui jouer, cloîtré comme il était dans cette prison d'un nouveau genre. Les domestiques et son précepteur l'aimaient bien, ne comprenant pas trop pourquoi il était ainsi mis à l'écart. C'était un enfant plein de vie, souriant, et pas compliqué pour un sou. Il passait le plus clair de son temps dehors, en compagnie d'un vieux garde-champêtre qui lui faisait découvrir chaque jour de nouvelles choses sur les plantes, les roches ou les animaux. Thomas rentrait souvent de ses ballades avec un animal blessé qu'il soignait, se faisant ainsi beaucoup plus d'amis à poils et à plumes que sans.
Évidemment, sa famille voyait d'un très mauvais oeil ce genre d'activités, jugées sauvages et absolument indignes d'eux. Mais bon après tout, tant qu'on ne le voyait pas, il n'y avait pas de problèmes, n'est-ce pas ? On vit toujours plus heureux les yeux bandés...
Pendant ce temps, au Japon, son grand-père paternel était mort, laissant la succession à son fils. Qui se souvint soudain qu'il avait lui même un enfant, du sexe mâle de surcroît. A bien y réfléchir, c' était une aubaine pour le clan. Pas besoin de chercher une jeune femme, ni de l'épouser, ni de risquer de se faire tuer par elle si elle appartenait à un clan rival... Quand son père annonça qu'il souhaitait reconnaître Thomas, et l'emmener au Japon, inutile de préciser que la famille française en fut absolument ravie, expédiant l'enfant, alors âgé de 10 ans, par le premier avion en partance pour Tokyo.
Du jour au lendemain, sans vraiment comprendre pourquoi, le garçon se retrouva parmi des gens qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam, avec un père dont il avait associé l'existence à celle de ces princes étrangers que l'on voit dans les contes. Il passa d'une paisible campagne française à la jungle urbaine de Tokyo, ou les immeubles de bétons remplaçaient les arbres et les voitures les animaux... Même si son précepteur avait pris soin de lui enseigner le japonais, il se sentit complètement perdu dans ce nouvel univers. Au bout de quelques jours seulement, il essaya de s'enfuir. Mais quand on a 10 ans, qu'on a pas un sou en poche, on ne va pas très loin, même si on est malin. Il fut vite rattrapé, et placé sous étroite surveillance. Il ne manquerait plus qu'un clan rival le kidnappe et exige une rançon, ou pire encore, décide de le faire disparaître !
Mais le père de Thomas n'était pas si insensible que ça, et il comprit vite que le changement était trop radical pour l'enfant. Il l'envoya alors dans une de leurs propriétés à la montagne, chez sa grand-mère qui s'était éloignée de la ville depuis la mort de son mari.
La vieille femme craqua aussitôt pour le garçon qu'on plaça sous sa responsabilité. Pour la première fois, quelqu'un de sa famille s'intéressait à lui, et l'aimait sincèrement. Peu à peu, Thomas s'habitua à sa nouvelle vie, un peu moins perdu dans cet endroit qui, même s'il ne ressemblait pas vraiment à la campagne qu'il avait toujours connu, lui permettait de retrouver la nature qu'il affectionnait tant. Sa grand-mère se chargea de lui apprendre tout ce qu'il devait savoir sur le clan, ne lui cachant pas le fait qu'il serait amené un jour ou l'autre à le diriger. Même s'il avait bien compris que sa nouvelle famille ne l'avait reconnu que pour en faire un héritier, il en était heureux. C'était loin d'être parfait, mais ça lui suffisait.
Il se mit aux arts martiaux, d'abord pour être capable de se défendre s'il était agressé, ce qui ne manquerait sûrement pas d'arriver étant donné son statut. Il affectionnait particulièrement ceux qui se pratiquaient à mains nues, étant donné qu'il détestait les armes (et puis de toute façon, vous vous imaginez dire à un agresseur : « Attendez, je sors mon shinai. Ou vous préférez mon nunchaku ? »).
Quand il eut 13 ans, son père le fit revenir à Tokyo, dans l'espoir que Thomas se ferait des amis de son âges, des amis qui pourraient lui être utiles plus tard. Mais ce fut un échec. Loin de sa grand mère et de la nature, il se consacra presque entièrement aux arts martiaux, ne cherchant même pas à sortir. Il avait toujours vécu seul, entouré de grandes personnes, se faire des amis de son âge était donc un chose totalement inconnue pour lui. Son père l'inscrivit alors dans une école publique, se disant qu'ainsi il serait forcé de se faire des connaissances. Là encore il échoua. Si beaucoup de personnes étaient attirées par le caractère simple et enjoué de Thomas, ce dernier ne les considérait que comme de simples connaissances. Il ne sortait jamais avec eux, ou alors très rarement. Mais le jeune homme ne les considérait pas comme faisant partie de son univers, leurs passions étant bien différentes des siennes. Les filles, le shopping, ou le base ball, très peu pour lui...
Grâce à ses résultats scolaires plus qu'excellents, il parvint à convaincre son père de l'inscrire dans un lycée célèbre, mais réservé à l'élite. Ce ne fut qu'à partir de ce moment là qu'il rencontra des gens qui avaient les mêmes intérêts que lui, et qu'il s'en fit des amis.
Des amis qui pour la plupart étaient les fils et filles de riches familles influentes, quoi de mieux pour le futur chef d'un clan de
Yakuza ? Même si le futur chef en question semblait avoir bien plus d'amies filles que d'amis garçons. Normal pour un jeune homme en pleine santé ? C'est ce que se disait son père, sans vraiment réalisé que les filles ne dépassaient jamais le stade d'amies aux
yeux de Thomas. Elles l'avaient vite compris, mais n'avaient pas délaissé le jeune homme pour autant. L'une d'entre elle alla même
jusqu'à lui présenter son frère... qui devint son premier petit ami. Hors de question que son père l'apprenne, il passait donc
beaucoup de temps chez son amie, et plus particulièrement dans la chambre de son frère. Malheureusement, leur relation ne resta pas secrète longtemps, et quand son père l'appris, il s'arrangea pour qu'elle cesse. Quelques jours plus tard en effet, le petit ami de Thomas fut victime d'un accident de voiture.
Il n'avait jamais dit à ses amis qu'il était le fils d'un Yakuza, et personne ne fit le lien. Mais Thomas si. Peu à peu, il s'éloigna de ses amis, craignant que son père n'interprète mal les choses. Alors qu'il avait toujours été souriant et amical, il se renferma peu à peu, devenant plus froid, distant. Face à ce changement d'attitude, son père pensa que son action avait été efficace. Mais il se trompait lourdement. La seule chose qu'il avait réussi à faire, c'était rendre Thomas méfiant, et beaucoup plus secret.
Le jeune homme se tourna alors vers sa grand mère, à la sortie du lycée, préférant retourner dans la propriété paisible, loin de Tokyo et de son père. Il passa ainsi un an, se consacrant exclusivement aux arts martiaux et à la botanique. Ce fut la vieille femme, qui ayant entendu parler d'une Académie d'art, décida de l'y inscrire, trouvant dommage de gâcher son talent. Inutile de préciser que Thomas était contre, craignant la réaction de son père s'il apprenait qu'il voulait intégrer une académie qui n'acceptait que des garçons. Mais sa grand mère batailla ferme, assurant à son fils que ce serait mieux pour le clan qu'il aille dans un tel endroit pour étudier. Au moins, les clans rivaux ne le chercheraient pas là bas... C'est donc avec le consentement de son père que Thomas s'inscrivit, appréhendant en même temps qu'il avait hâte. Il ne voulait pas qu'un de ses nouveaux amis aie un accident...
Contrairement à ce qu'il avait d'abord pensé, son court séjour dans l'académie se passa plutôt bien. Il avait été plus que prudent, et son père n'avais jamais rien appris de compromettant pour le forcer à quitter l'établissement. Ce fut une autre chose qui s'en chargea, un accident pour être plus exact, qui mit le feu à l'académie.
Fort heureusement, il n'avait pas eu à s'approcher des flammes, et s'en était sorti sauf. Autour de lui, les autres élèves quittaient les bâtiments paniqués, ainsi que les professeurs et les membres du personnel, qui ayant prévenu les pompiers n'attendaient plus que leur venue. Mais celle-ci se fit trop attendre, et quand les dernières flamèches s'éteignirent, l'académie n'était plus.
Ce fut à ce moment qu'un des professeurs décida de remonter une autre école, et c'est sans problèmes que sa grand-mère l'y inscrivit. Tout ce qui le maintenait éloigné de son père ne pouvait être que bon...

Autre : Il a la phobie de tout ce peut percer, comme les aiguilles, tient très mal l'alcool et ne supporte pas la chaleur.

Nationalité : Il est de nationalité japonaise, même si sa mère est française.

Matières choisies :
Arts du combat (à main nues )(arts martiaux chinois, comme le kung fu)
Sciences de la vie et de la Terre
Physique chimie

Bienvenu

Tu peux dès à présent te rendre au discours du directeur dans le topic approprié (hall), tu pourra ensuite commencer le rp dès que cela sera fini