Dezrodnov Alekseï
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Dezrodnov Alekseï
Dezrodnov Alekseï Lun 14 Déc - 18:28
Nom : Dezrodnov
Prénom : Alekseï
Age : 19 ans
Matières suivies : Littérature, histoire des civilisations, théâtre, danse, équitation et aïkido
Description physique : Alekseï est beau, et il le sait. Ses longs cheveux châtains sont toujours noués d'un ruban, le plus souvent de velours noir ou vert. De grands yeux bleus pétillant de malice illuminent son visage, bien que depuis quelques mois un voile de tristesse vienne parfois les obscurcir, les faisant paraître parfois presque noirs. On pourrait penser que sa petite taille et sa stature mince et élancée le complexe, mais il n'en ait rien. Il a très vite comprit que s'il ne pouvait impressionner les gens par son physique, il pouvait au contraire s'en servir pour passer pour plus frêle qu'il ne l'est en réalité et ainsi profiter de la protection de ses aînés. Son style vestimentaire reste assez classique, mais il aime à se costumer sur scène ou même en dehors en compagnie de ses amants. Il porte toujours un ruban rouge noué autour du poignet. Un souvenir auquel il tient plus que tout.
Description psychologique : Renfermé, antipathique... C'est souvent les adjectifs dont on l'affuble à première vue. D'une nature secrète, il préfère largement resté en retrait et observer ceux qui l'entourent. Si possible en lançant de temps à autre quelques répliques acérées. Il ne recherche pas spécialement la compagnie des autres, préférant quand il ne peut passer du temps avec ses amants une solitude reposante à un brouhaha interminable. Il ne se met pas facilement en colère, mais quand on le pousse à bout il peut laisser éclater une rage qui en surprendrai plus d'un, une fureur dévastatrice qui, si elle ne s'exprime pas par les poing, n'en fait pas pour autant moins mal. En théâtre, Alekseï sait se montrer intransigeant, autant avec lui qu'avec les autres, et il interprête ses personnages comme il l'entend, comme il les ressent. Et il est très rare qu'il ne tombe pas juste. Cependant, cet adolescent si solitaire peut montrer un tout autre visage avec ses amants. Si lui et Volodia rivalisent d'ingéniosité pour trouver des remarques toujours plus cinglantes, il peut être avec le roux un véritable Karel de patience et de dévouement. Et quand ils sont tous les trois, on peut enfin retrouver l'enfant rieur et insouciant qu'il aurait sans doute toujours voulu être.
Histoire : Alekseï est né en 1989 dans une URSS à l'agonie. De la chute du régime communiste, il ne garde comme vagues souvenirs que la jubilation de ses parents, de son entourage. Que les drapeaux brûlés, les bâtiments détruits. Que l'hypocrisie envolée. Ce n'est que des années plus tard qu'Alekseï comprit ce que ces images signifiaient.
Son arrière-grand père, alors morts depuis bien longtemps, avait été en son temps un proche de la famille impériale, au service du propre frère du Tsar. Mais le vent avait tourné, et cet homme avait su voir les signes avant courreur et avait fuit avec sa famille à l'autre bout du pays avant que la Révolution n'éclate. Une fois à Vladivostok, il avait su se faire oublier du nouveau régime en place, n'hésitant pas à s'allier même parfois à ses représentants pour sauvegarder l'aisance familiale. Une vie plus humble, sans doute, ne pas se faire remarquer, bien que le mode de vie reste de la famille Dezrodnov reste largement supérieur à celui du citoyen moyen en URSS. Mais même avec ce privilège, cet homme garda et une haine viscérale au régime qui avait mit sa chère Russie à feu et à sang. Et c'est tout naturellement qu'il l'a transmit à ses descendants. Nostalgie, nostalgie... Si bien qu'on nomma l'aîné du nom de Nicolaï, le dernier Tsar, et le cadet Alekseï, l'héritier du trône.
Le régime tombé, la fortune des Dezrodnov revint, comme par je ne sais quel ingénieux tour de passe passe. Une vie de luxe, qui contrastait avec l'éducation très stricte que dû subir Alekseï. Certes, il ne manquait de rien. Mais cela fit de lui un enfant renfermé, qui devint très vite un adolescent glacial. Son seul véritable ami était son frère mais, de quinze ans son aîné, il ne pouvait passait trop de temps avec lui, trop occupé à devenir le futur héritier de l'empire industriel de sa famille. Alekseï, pour sa part et en tant que second, aurait dû devenir avocat, ou même juge...
Mais il faut croire que le destin en avait décidé autrement. Il avait décidé de le faire croiser la route d'un fée, d'un lutin... Il ne sut pas exactement, mais il ne pouvait être humain, cela était certain. Pourtant, au départ, il s'agissait d'une banale sortie de classe dans le cadre d'un cours de littérature contemporaine. Une sortie ennuyeuse au possible, pour le jeune adolescent de seize ans. Une pièce de théâtre. Il s'apprêtait presque à ne la regarder que d'un oeil, et à dormir de l'autre, tant cela l'ennuyait. Mais il en fut totalement incapable. Sur scène, devant lui, à quelques mètres à peine, il y avait cette créature presque éthérée, comme sortie d'un monde imaginaire, qui le fascina totalement. Ce n'était pas le personnage principal, non, pourtant aux yeux d'Alekseï elle éclipsait toutes les autres tant elle semblait allumer d'un feu puissant ! Ce soir là, il venait de découvir une nouvelle passion, un nouvel amour. Ce soir là, il ne rentra pas chez lui.
Un flirt, tout d'abord, puis quelques heures, une nuit... Tout le temps qu'il pouvait voler, Alekseï le passait auprès de Karel. Il apprit bien vite que son coup de foudre avait un amant, Volodia. Mais peu lui importait, seul Karel comptait. Avec lui, il découvrit l'autre côté du rideau, les coulisses, les répétitions. Et très vite, il se découvrit un talent nouveau. Lui aussi, il pouvait faire vivre des personnages. Et mieux, il était très doué pour ça.
Ses parents qui tentèrent de le faire revenir à la raison ? Qu'importe. Il claqua la porte de la maison et partit s'installer avec son modèle, embrassant totalement son mode de vie, ses idéologies même, pourtant si éloignées de son éducation. Et il finit par sortir également avec Volodia, ce danseur si charismatique qui ne cessait de le chercher, alors que le plus jeune apprit à jouer de ses charmes pour l'amadouer. Un bonheur parfait. Même la mort de son père ne put le tirer de ce rêve.
Le réveil, lui, fut des plus brutal. Karel, un beau jour, avait simplement disparu. Les placards vides, et un simple mot sur l'oreiller. Et Alekseï, lui, qui n'avait rien vu... L'ambiance dans le petit appartement devint très vite insupportable. Et Alekseï finit par s'enfuir, sans un mot, sans une trace, s'effaçant de la vie du danseur comme Karel s'était effacé de la leur. Il vécu un moment de petits boulots, dormant dans un appartement miteux, refusant de revenir auprès de son frère et de sa mère. Non, il devait le retrouver... Pire qu'une mission, une obsession.
Et c'est ainsi que le retrouva Volodia, dans une chambre de bonne parcourue de courants d'airs. Aminci, apauvri. Volodia le reprit sous son aile, lui faisant miroiter de retrouver Karel. S'il pouvait le faire revenir, ils iraient à lui. Et il tint parole.
C'est au Japon, dans une école qu'ils retrouvèrent le roux. Alekseï réussit à se faire payer ses études par son frère, bien que celui ci ne fut pas dupe en voyant la liste des professeurs. Karel. Une seconde rencontre, des retrouvailles que jamais il n'oublierai, et dont il gardait toujours la trace autour de son poignet. Une vie qui continuait... L'incendie ? Un détail. Ils avait traversés trop d'épreuve, et une mer de surcroit. Ce n'était pas quelques flammes qui viendraient mettre feu à ce jeu perpétuel qu'ils jouaient tous les trois.
Nationalité : Russe
Autre : De Volodia, Alekseï a prit la mauvaise habitude de fumer. Il n'est ainsi pas rare de le voir plongé dans ses pensées, mordillant son pouce, une cigarette à la main.
Prénom : Alekseï
Age : 19 ans
Matières suivies : Littérature, histoire des civilisations, théâtre, danse, équitation et aïkido
Description physique : Alekseï est beau, et il le sait. Ses longs cheveux châtains sont toujours noués d'un ruban, le plus souvent de velours noir ou vert. De grands yeux bleus pétillant de malice illuminent son visage, bien que depuis quelques mois un voile de tristesse vienne parfois les obscurcir, les faisant paraître parfois presque noirs. On pourrait penser que sa petite taille et sa stature mince et élancée le complexe, mais il n'en ait rien. Il a très vite comprit que s'il ne pouvait impressionner les gens par son physique, il pouvait au contraire s'en servir pour passer pour plus frêle qu'il ne l'est en réalité et ainsi profiter de la protection de ses aînés. Son style vestimentaire reste assez classique, mais il aime à se costumer sur scène ou même en dehors en compagnie de ses amants. Il porte toujours un ruban rouge noué autour du poignet. Un souvenir auquel il tient plus que tout.
Description psychologique : Renfermé, antipathique... C'est souvent les adjectifs dont on l'affuble à première vue. D'une nature secrète, il préfère largement resté en retrait et observer ceux qui l'entourent. Si possible en lançant de temps à autre quelques répliques acérées. Il ne recherche pas spécialement la compagnie des autres, préférant quand il ne peut passer du temps avec ses amants une solitude reposante à un brouhaha interminable. Il ne se met pas facilement en colère, mais quand on le pousse à bout il peut laisser éclater une rage qui en surprendrai plus d'un, une fureur dévastatrice qui, si elle ne s'exprime pas par les poing, n'en fait pas pour autant moins mal. En théâtre, Alekseï sait se montrer intransigeant, autant avec lui qu'avec les autres, et il interprête ses personnages comme il l'entend, comme il les ressent. Et il est très rare qu'il ne tombe pas juste. Cependant, cet adolescent si solitaire peut montrer un tout autre visage avec ses amants. Si lui et Volodia rivalisent d'ingéniosité pour trouver des remarques toujours plus cinglantes, il peut être avec le roux un véritable Karel de patience et de dévouement. Et quand ils sont tous les trois, on peut enfin retrouver l'enfant rieur et insouciant qu'il aurait sans doute toujours voulu être.
Histoire : Alekseï est né en 1989 dans une URSS à l'agonie. De la chute du régime communiste, il ne garde comme vagues souvenirs que la jubilation de ses parents, de son entourage. Que les drapeaux brûlés, les bâtiments détruits. Que l'hypocrisie envolée. Ce n'est que des années plus tard qu'Alekseï comprit ce que ces images signifiaient.
Son arrière-grand père, alors morts depuis bien longtemps, avait été en son temps un proche de la famille impériale, au service du propre frère du Tsar. Mais le vent avait tourné, et cet homme avait su voir les signes avant courreur et avait fuit avec sa famille à l'autre bout du pays avant que la Révolution n'éclate. Une fois à Vladivostok, il avait su se faire oublier du nouveau régime en place, n'hésitant pas à s'allier même parfois à ses représentants pour sauvegarder l'aisance familiale. Une vie plus humble, sans doute, ne pas se faire remarquer, bien que le mode de vie reste de la famille Dezrodnov reste largement supérieur à celui du citoyen moyen en URSS. Mais même avec ce privilège, cet homme garda et une haine viscérale au régime qui avait mit sa chère Russie à feu et à sang. Et c'est tout naturellement qu'il l'a transmit à ses descendants. Nostalgie, nostalgie... Si bien qu'on nomma l'aîné du nom de Nicolaï, le dernier Tsar, et le cadet Alekseï, l'héritier du trône.
Le régime tombé, la fortune des Dezrodnov revint, comme par je ne sais quel ingénieux tour de passe passe. Une vie de luxe, qui contrastait avec l'éducation très stricte que dû subir Alekseï. Certes, il ne manquait de rien. Mais cela fit de lui un enfant renfermé, qui devint très vite un adolescent glacial. Son seul véritable ami était son frère mais, de quinze ans son aîné, il ne pouvait passait trop de temps avec lui, trop occupé à devenir le futur héritier de l'empire industriel de sa famille. Alekseï, pour sa part et en tant que second, aurait dû devenir avocat, ou même juge...
Mais il faut croire que le destin en avait décidé autrement. Il avait décidé de le faire croiser la route d'un fée, d'un lutin... Il ne sut pas exactement, mais il ne pouvait être humain, cela était certain. Pourtant, au départ, il s'agissait d'une banale sortie de classe dans le cadre d'un cours de littérature contemporaine. Une sortie ennuyeuse au possible, pour le jeune adolescent de seize ans. Une pièce de théâtre. Il s'apprêtait presque à ne la regarder que d'un oeil, et à dormir de l'autre, tant cela l'ennuyait. Mais il en fut totalement incapable. Sur scène, devant lui, à quelques mètres à peine, il y avait cette créature presque éthérée, comme sortie d'un monde imaginaire, qui le fascina totalement. Ce n'était pas le personnage principal, non, pourtant aux yeux d'Alekseï elle éclipsait toutes les autres tant elle semblait allumer d'un feu puissant ! Ce soir là, il venait de découvir une nouvelle passion, un nouvel amour. Ce soir là, il ne rentra pas chez lui.
Un flirt, tout d'abord, puis quelques heures, une nuit... Tout le temps qu'il pouvait voler, Alekseï le passait auprès de Karel. Il apprit bien vite que son coup de foudre avait un amant, Volodia. Mais peu lui importait, seul Karel comptait. Avec lui, il découvrit l'autre côté du rideau, les coulisses, les répétitions. Et très vite, il se découvrit un talent nouveau. Lui aussi, il pouvait faire vivre des personnages. Et mieux, il était très doué pour ça.
Ses parents qui tentèrent de le faire revenir à la raison ? Qu'importe. Il claqua la porte de la maison et partit s'installer avec son modèle, embrassant totalement son mode de vie, ses idéologies même, pourtant si éloignées de son éducation. Et il finit par sortir également avec Volodia, ce danseur si charismatique qui ne cessait de le chercher, alors que le plus jeune apprit à jouer de ses charmes pour l'amadouer. Un bonheur parfait. Même la mort de son père ne put le tirer de ce rêve.
Le réveil, lui, fut des plus brutal. Karel, un beau jour, avait simplement disparu. Les placards vides, et un simple mot sur l'oreiller. Et Alekseï, lui, qui n'avait rien vu... L'ambiance dans le petit appartement devint très vite insupportable. Et Alekseï finit par s'enfuir, sans un mot, sans une trace, s'effaçant de la vie du danseur comme Karel s'était effacé de la leur. Il vécu un moment de petits boulots, dormant dans un appartement miteux, refusant de revenir auprès de son frère et de sa mère. Non, il devait le retrouver... Pire qu'une mission, une obsession.
Et c'est ainsi que le retrouva Volodia, dans une chambre de bonne parcourue de courants d'airs. Aminci, apauvri. Volodia le reprit sous son aile, lui faisant miroiter de retrouver Karel. S'il pouvait le faire revenir, ils iraient à lui. Et il tint parole.
C'est au Japon, dans une école qu'ils retrouvèrent le roux. Alekseï réussit à se faire payer ses études par son frère, bien que celui ci ne fut pas dupe en voyant la liste des professeurs. Karel. Une seconde rencontre, des retrouvailles que jamais il n'oublierai, et dont il gardait toujours la trace autour de son poignet. Une vie qui continuait... L'incendie ? Un détail. Ils avait traversés trop d'épreuve, et une mer de surcroit. Ce n'était pas quelques flammes qui viendraient mettre feu à ce jeu perpétuel qu'ils jouaient tous les trois.
Nationalité : Russe
Autre : De Volodia, Alekseï a prit la mauvaise habitude de fumer. Il n'est ainsi pas rare de le voir plongé dans ses pensées, mordillant son pouce, une cigarette à la main.
Dezrodnov Alekseï- Messages : 4
Date d'inscription : 13/12/2009
Age : 34
Re: Dezrodnov Alekseï
Lawrence MacKlarin Jeu 17 Déc - 23:51
Bienvenu
Tu peux maintenant passer par le hall puis aller chercher tes clés auprès de notre cher secrétaire
Tu pourras ensuite t'installer dans l'école
Tu peux maintenant passer par le hall puis aller chercher tes clés auprès de notre cher secrétaire
Tu pourras ensuite t'installer dans l'école
Lawrence MacKlarin- Admin
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Date d'inscription : 08/12/2009
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